Agé de cinquante-trois ans, marié, j’ai vécu néanmoins de nombreuses aventures homosexuelles.

En fait, j'avoue préférer sucer des bites que des vagins, fut-ce celui de ma femme. Je suis VRP de profession, ce qui me permet toujours pas mal de rencontres. Ainsi ai-je eu dans le passé des rapports merveilleux avec des hommes de vingt-cinq à quarante ans, avec des plus vieux de soixante/soixante-cinq ans, et même avec un jeune que j’avais séduit tout à fait normalement alors que j’en avais quarante.

Désormais, mes aventures se raréfient (le sida, hélas! fait craindre) mais je continue à porter mon regard sur les braguettes masculines, notamment celles qui font rêver. À cet égard, j’accorde un intérêt tout particulier aux jeunes Maghrébins "qui en ont dans le slip", paraît-il. J’en ai eu une preuve récemment.

Je circulais sur une route nationale dans le Finistère. Je me trouve soudainement en présence d'un jeune Arabe faisant du stop. Je m’arrête pour l’embarquer. Il est jeune et me paraît très sympa. J’engage la conversation sur ses flirts féminins, sur son côté “beau gosse”. À ma grande surprise, il me dit préférer les copains. Je tente ma chance et pose ma main droite sur sa cuisse. Je crains une mauvaise réaction, mais non! Il semble même m’encourager à approcher vers sa braguette.

Je suis bientôt aux anges quand je constate une bosse qui s’amplifie. La partie est gagnée. Je lui suggère de nous arrêter en un endroit discret. Ahmed y consent. Pour moi, c’est le bonheur parfait. Un chemin creux, une entrée de champ, un refuge dans le maïs, nous sommes au paradis, seuls au monde!

Ahmed se tient debout. Je m’agenouille. Je frotte ma bouche sur sa braguette. Je sens le morceau durcir. Il sort une ficelle de sa poche et souhaite me lier les mains dans le dos. Je me laisse faire par ce gamin. Prenant ma chevelure, il me fait caresser longuement son intimité, m’invitant à mordre sa bite et ses couilles au travers du tissu.

Il me murmure des choses excitantes, comme “Caresse ma bite, ma grosse bite (et c’était vrai, super pour son âge!). Tout à l’heure, tu l’auras dans ta bouche, dans ton cul, mais patience, caresse, frotte mon jean, fais-moi bander à fond! Montre que tu aimes mon zob. Tu es un chien qui lèche une braguette et que tu vas ouvrir avec tes dents!”

J'entrepris ainsi de saisir la languette de la fermeture-éclair et de l'abaisser. J'entrevis un slip à fleurs. Ma langue s’infiltra dans l’ouverture pour lécher la bite que j’espérais tant. Je parvins à l’extirper de son cocon et je l’eus bientôt en bouche. Je l’ai happée littéralement pour l’enfouir au fond de ma gorge.

Le jeune Beur appréciait! Me tenant la tête dans ses mains, il me fit faire un va-et-vient puissant. La décharge ne tarda pas. Je bus goulûment son sperme. Mais cette énorme queue, je la voulais maintenant au fond de mon cul. À genoux, j’ai baissé mon froc pour lui montrer mes fesses avides. Allais-je pour la première fois avoir une bite de Beur, être possédé par un jeune qui pouvait être mon fils? Mon coeur battait fort. Mais Ahmed comprit vite mon souhait. Il me demanda de m’allonger ventre contre terre. Il s’allongea sur moi et, écartant mes fesses, son gros engin trouva vite mon oeillet. L’enculage à sec me plaisait et me fit jouir d’une manière démentielle, au point que je criai: “Encore! Encore! Jusqu’au fond, défonce-moi, que c’est bon, mon chéri!”

Nous sommes restés ainsi collés une bonne heure car Ahmed aussi appréciait. Finalement, on s’est relevés mais je l’ai encore sucé avant de rejoindre la voiture. Il était dix-neuf heures ou presque. Je l’ai invité à dîner dans un hôtel-restaurant d’une ville proche avec une idée en tête: le garder pour la nuit! L’ambiance aidant, il a finalement accepté (personne ne l’attendait, me dit-il) et alors là, toute la nuit, ce fut un duo d’amour. Lumière éteinte et nus, nous nous sommes embrassés, étreints comme des fous, avec des baisers qui duraient plusieurs minutes. Il n’y a pas une partie du corps d'Ahmed qui n'ait été embrassée et léchée.

J'ai été enculé six ou sept fois en criant ma jouissance, au point d’importuner (peut-être) nos voisins de chambre. Ce fut une extraordinaire et merveilleuse nuit d’amour. On s’est promis de nous retrouver aussi souvent que possible.

Il m’a promis de me faire connaître des amis Algériens comme lui, mais ça c’est une autre histoire! Ahmed, vivement que je te retrouve, je t’aime !

Jean

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